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Le Paradoxe de la Femme de 40 ans douce, vicieuse et belle comme un Botéro

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Le Paradoxe de la Femme de 40 ans douce, vicieuse     et belle comme un Botéro
Le Paradoxe de la Femme de 40 ans douce, vicieuse et belle comme un Botéro
  • Petites histoires érotiques, délires sm, et billets d'humeur d'une femme de 40 ans paradoxalement douce et vicieuse, tendre et cruelle, directive et à l'écoute, scandaleuse et secrète, perverse et délicate.
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23 janvier 2016

Mon Chat ....

Le temps passait... La vie aussi ... il était là fidèle, tendre, drôle et peu à peu indispensable ... Un jour il a dit "Je pars ... Loin..." Et soudain mon monde, mon équilibre a tremblé... Et une révélation ... c'est lui ... c'est lui mon hom... c'est lui mon chat... c'est lui mon amour... en quelques jours, en quelques heures la certitude que je ne voulais, ne pouvais pas vivre sans lui dans ma vie ... Il a tout ... l'intelligence, l'humour, l'impertinence, la culture, la sensibilité, l'envie de me servir et le talent pour le faire... il est la salope dont je revais ... Il ne lui manque que quelques centimetres pour me satisfaire complètement mais que nous compenserons facilement :

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Aujourd'hui, il va falloir réfléchir à vive différement, peut-être ailleurs, moins en accord avec mes valeurs... ce sera compliqué ... Il faudra faire des sacrifices ... d'une manière ou d'une autre ... Ici ou la-bas ... ensemble ou a distance ... Mais il est mon hom à moi et ça me rassure ... Je crois en lui ... en moi ... en nous ...

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8 mai 2015

sous la neige

neige

Se réveiller dans une campagne particulièrement calme… Découvrir le paysage enveloppé de blanc… Faire le bureau buissonnier …  resté ensemble  bien au chaud… Commencer la journée les yeux dans les yeux au dessus d’un bol de thé fumant … te sourire… imaginer ce que j’aimerais te faire … ces plaisirs… ces tourments… ne rien te dire … te sourire encore … retourner sous la couette … te faire signe de me rejoindre … te bander les yeux… t’attacher au lit les bras écartés… t’embrasser… te caresser du bout des doigts… caresser ton torse… caresser ton ventre… effleurer ta queue… la voir se redresser … te branler lentement… te murmurer à l’oreille que tu m’appartiens… serrer  ta queue très fort… ne pas la lâcher…  t’embrasser profondément… parcourir ton cou, ton torse, ton ventre de ma bouche… poser ma langue en bas de ta queue… remonter lentement jusqu’au gland… ne pas le toucher… te laisser en suspend… recommencer lentement… sentir ta respiration qui s’arrête… attendre… 

3 janvier 2015

Je ne viendrai jamais te chercher…

 

Depuis longtemps déjà il est sorti de ma vie … surement parce qu’il ne voulait pas que je lui pardonne ses mensonges… J’avais choisi cette maison pour nous deux,  pour que nous la remplissions de notre vie … Je me souviens de cette dernière nuit chez lui (mais était-ce chez lui ?) où j’ai senti les derniers instants du bonheur… Je porte encore parfois cette perle noire, ce bijou qui ne me ressemble pas vraiment dont pourtant je ne peux me défaire…

Depuis des mois, je tourne et je vire… à l’attendre sans l’attendre… sans investir totalement cette maison qui pourtant m’accueille et m’enveloppe… il me faut faire de la place et ranger définitivement ces souvenirs envahissants, me débarrasser des objets encombrants…  Il y a des gestes que je n’aurais plus car ils lui sont si tellement liés... Je referme ce livre inachevé… je ne regrette rien car je suis certaine d’avoir toujours été sincère et d’avoir donné tout ce que je pouvais donner… il n’a pas pu, pas su ou pas voulu… je reste persuadée que le bonheur était là, que nous l’avons vécu et partagé et qu’il aurait pu durer mais il fallait être deux et j’ai trop souvent était seule à écrire cette histoire.

Il est temps de projeter le bonheur ailleurs… il est temps d’ouvrir mon cœur et mes bras à un nouvel Animal. Quelqu’un qui entendra mes paradoxes, qui ne pendra pas ma douceur pour de la faiblesse, qui ne doutera pas de ma détermination. Quelqu’un de fort qui n’aura pas peur de mes débordements pervers. Une muse qui m’inspirera les pages que j’ai envie d’écrire…

violondingres

20 février 2013

Le bel animal VII

fraise

Les Fraises du Périgord

Le printemps arrive, les robes se font légères, les peaux encore pâles se dévoilent un peu plus chaque jour.

Par hasard, mais peut être saviez-vous que j'y ai mes habitudes, vous savez tant de choses de moi, je vous croise au marché. Échanges de regards, je suis avec des amis, vous me saluez de loin, de la tête et vos yeux se baissent un instant. Un moment plus tard, je sens votre présence près de moi... Vous êtes là tenant la même barquette de gariguettes que moi.

 

-Viendriez-vous pique-niquer avec moi ?

-Quand ?

-Tout à l'heure, à 13 heures.

-Pourquoi pas …

-Je vous envoie l'adresse de l'endroit par sms.

 

Du bout des doigts vous effleurez ma main en remontant un peu sur mon poignet, mon avant-bras et vous disparaissez parmi les paniers et les parasols. Je reste là, les fraises à la main et la marchande me regarde étrangement. Je paie et rejoins la bande déjà attablée et joyeuse. On fait des plans pour la soirée, on s'interpelle. Moi j'attends une vibration qui tarde un peu... Enfin pas tant que ça, j'ouvre le message, une suite de chiffres et de lettres, juste des coordonnées GPS. Décidément vous aimez les mystères. Encore une fois, l'espace d'une seconde je me demande si je ne suis pas folle d'aller rejoindre ce diable d'animal dont je ne sais presque rien  dans un lieu inconnu. L'envie balaye le risque.

Je ramasse mon panier, envoie un baiser à la cantonade, promets d'être à l'heure pour le concert du soir et me sauve dans le dédale des rues pavées en cachant mes yeux qui brillent derrière mes lunettes noires.

GPS programmé, je suis les indications de la voix, les routes deviennent de plus en plus étroites pour finir en un chemin dont le centre est couvert d'herbes folles, « vous êtes arrivez ». Devant  moi je reconnais votre voiture, au moins je suis au bon endroit, et je repère sous l’essuie-glace arrière une flèche dessinée sur une simple feuille m'indiquant la voie à suivre ainsi que la distance : 200m. J'entends le bruit de la rivière, au moins je pourrais m'échapper à la nage au cas ou... Au bout du sentier, la clairière attendue et vous... lisse, nu et à genoux dans l'herbe... J'ai faim d'un coup ! Une faim de louve... Une jolie nappe, des victuailles appétissantes, un panier, le cliché est un peu convenu mais je suis encore une fois séduite. Je m'approche de vous, retire mes chaussures pour le plaisir de sentir l'herbe fraiche entre mes orteils, vous prenez ma main et la baisez. Un baiser tendre et plein de respect comme toujours. Du bout du pied  je tâte votre queue qui me salue elle aussi.

Vous avez prévu des coussins pour mon confort, je m'installe et pique une fraise dans la barquette pendant que vous allez chercher la bouteille de Tariquet qui rafraichie dans l'eau. Je vous soupçonne de faire un peu exprès d'arpenter la clairière de long en large pour que je profite du spectacle car après la bouteille de vin, c'est l'eau que vous allez récupérer. J'avoue que je ne peux pas m'empêcher de vous suivre des yeux. Votre service est impeccable, je suis gâtée et ma légendaire gourmandise aussi. Nous déjeunons en discutant de tout, de rien …. Lorsque je repère un autre panier, plus petit, près d'un arbre que je n'avais pas remarqué

 

-qu'y a-t-il dans ce panier ?

-Le dessert si vous voulez ….

-Montrez-moi cela !

 

Le contenu de ce panier m'enchante : deux paires de bracelets de cuirs et des cordelettes de différents diamètres et longueurs.

 

-Les deux arbres là-bas me semblent parfaits.

-Donnez-moi les bracelets !

 

Vous présentez un pied puis l'autre pour que je les enferme dans les bandeaux de cuir, puis vous m'aidez à me relever et me tendez vos poignets qui se trouvent aussitôt prisonniers également

-Allons-y !

 

Vous me suivez docilement en portant le panier rempli de cordes jusqu'aux arbres dont l'écartement est effectivement parfait. Un par un, j'entreprends d'attacher chacun de vos membres, les bras d'abord aux branches hautes, puis vos jambes aux troncs. En quelques minutes à peine vous êtes écartelé, immobilisé, disponible et entièrement accessible. En tout dernier lieu j'attache votre cheville droite, je remonte le long de votre jambe du bout des ongles laissant une trace rouge régulière de la cheville à l'intérieure de votre cuisse, qui continue sur la fesse puis s'incruste sur votre dos en créant un frisson.

Je vous laisse ainsi un moment, le temps de choisir une branche sur un noisetier voisin. Je la choisis longue et feuillue. Je la fais virevolter dans l'air, elle siffle près de vos oreilles. Le premier coup atteint vos fesses qui sursautent. J'enchaine les coups régulièrement faisant rougir et chauffer votre peau, peu à peu je vois les  muscles de votre dos se détendre, votre respiration devient plus profonde comme si vous puisiez dans cet air la force d'endurer en silence ce tourment. Au fur et mesure la branche perd ses feuilles et devient plus cinglante, à moins que ce ne soit mon bras qui ne se fasse plus précis et plus acéré. Quand enfin un premier cri sort de votre gorge comme une exultation  mes jambes tremblent et mon ventre se sert. Galvanisée par vos réactions et par le crescendo de vos plaintes mes coups s'appuient plus fort, laissant des lignes plus rouges au bas de votre dos. Plus vos cris deviennent profonds et forts, plus mes coups sont cinglants et vifs. Pas une fois le noisetier ne rate sa cible, pas un jet sans un râle en réponse. La branche vole de plus en plus vite, de plus en plus fort. Mon bras s'emballe dans le silence de l'eau qui  chante, des oiseaux qui chantent, mes oreilles bourdonnent... Je n'entends plus que le sifflement de le badine, que vos cris qui s’égrènent, que le claquement sur votre peau. Je ne vois plus que votre dos, que votre cul qui rougissent, qui se strient de rouge. Je suis emportée par un élan, par mon élan quand soudain la brindille se brise …. Au bout de la branche un lambeau pend...misérable comme une oriflamme en berne …. Mon bras soudain me fait mal. En face de moi votre cul m'apparait plus vermillon que rouge.... j'aspire une longue goulée d'air qui me brule les poumons et me ramène à la réalité de la clairière. Un moment mes jambes ne me portent plus, je suis dans cet état d'inconscience que la jouissance créé, je flotte en dehors de moi-même et mon seul réconfort se trouve en vous. Je laisse choir ma baguette et me réfugie contre vous, je vous enlace. Nos respirations se mêlent en désordre, envahies par la grande chamade de nos battements de cœurs. Je fais courir mes doigts le long de vos flancs, découvrant le relief des stries laissées par ma badine et vous faisant frissonner. Nos bouches se rencontrent enfin et c’est dans ce baiser tendre et passionné que nous retrouvons notre sérénité.

Prenant le temps de longues caresses délicates, parfois indiscrètes ou insidieuses, j’entreprends de vous détacher…. Le résultat ne se fait pas attendre, vous bandez. Comme j’aime vous voir bander pour moi et par moi ! Quel plaisir de susciter cette envie si visible !

Je me laisse aller dans les coussins, profitant de la douceur du soleil du printemps, vous vous installez à genoux à mes pieds, en prenant l’initiative d’un massage de mes petons. Sans en avoir l’air de la plante vous remontez vers la cheville, le mollet… Au genou, glissant sous ma jupe, votre bouche remplace vos doigts, puis s’aventure à l’intérieur de ma cuisse… jusqu’à ce creux de moi si sensible … la caresse de votre langue et de vos lèvres m’emporte par vague dans un plaisir animal sans retenue…

Quand je redescends sur terre, vous êtes allongé contre moi, souriant, arrogant et toujours bandant. Je tapote votre joue en souriant, je récupère mes chaussures, dépose au coin de votre bouche un baiser léger, puis me lève et m’en retourne à ma voiture. A la lisière de la clairière je me retourne, vous êtes là à genoux, au milieu des coussins, la queue droite et au bas de votre fesse gauche une marque bien visible en forme qui a la forme d’une fraise bien mûre….

10 février 2013

Aphrodisiaque ?

Toujours dans la série le SM est partout, je vous laisse voir la dernière campagne pour les huitres de Marenne-Oléron ... je pense que cela se passe de commentaire... On pourrait juste regretter que l'image, le casting et la mise en scène manque de ce petit côté porno-chic qui aurait donné un "rien" d'élégance à cette campagne...

huitre marenne

à voir ici : http://youtu.be/myTrWUFemyM

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21 janvier 2013

RENÉ BUTHAUD (1886-1986)«Diane Chasseresse» Avant

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RENÉ BUTHAUD (1886-1986)
«Diane Chasseresse»

Avant qu’il ne soit trop tard (quoiqu’il ne soit jamais trop tard pour des bons souhaits), il est temps que je me plie à la tradition des vœux de débuts d’année… A tous donc je souhaite une belle année et que tous vos souhaits se réalisent… Pour ma part, mes vœux et résolutions  pour 2013 sont absolument identiques à ceux de 2012… je veux un HOM !!!  Un hom à moi, un gentleman viril à mes pieds, un être humain bien réel, intelligent et cultivé… J’ai cru l’apercevoir en 2012… Même le toucher du doigt, au point d’y croire pour de bon et puis « pfuit » ! Evaporé le bel animal ! Aujourd’hui chasseresse en embuscade au coin du bois je le vois (enfin je crois) … s’approchera, s’approchera pas … L’avenir le dira …. 2013 année de braise … Je me le souhaite, je vous le souhaite !

31 octobre 2012

Sous apparence

Toujours dans la catégorie le SM est partout, le nouveau spectacle de Marie-Agnés Gillot "Sous apparence".

La danse classique est un excercice sado-masochiste bien connu : s'asteindre à des heures et des heures de répétitions rituelles d'exercices d'assouplissement pour parvenir à l'exact geste, porter des contraintes physiques à longueurs de temps imposer par l'esthétisme, se soumettre à une discipline rigoureuse quotidienne voilà bien là des similitudes incontestables entre la vie de l'étoile et la vie de l'esclave.

Aujourd'hui l'étoile Gillot ouvre une porte nouvelle puisque les costumes de sa création chorégraphique, réalisés par Walter Van Beirendonck, sont en partie constitués de bondages symbolisants le corset qu'elle porta enfant pendant cinq ans... Et elle pousse le vice jusqu'à faire évoluer ses danseurs sur un lino glissant et à abolir le dernier privilège des danseurs hommes puisqu'eux aussi porteront des "ballet shoes" (enfin un pas vers la parité ...)

Quand je vous dis que le SM est partout, il suffit d'ouvrir les yeux !

 

gillot 1

27 octobre 2012

Provocation....

Encore une fois la provocation pour faire réfléchir ... Et comme souvent ce sont des femmes qui ont pris les choses en mains ... et qui plus est de très jeunes femmes spontannées face des obscurantistes figées dans une morale judéo-chritienne.

 

baiser de marseille

Mon propos n'est pas de prendre position pour ou contre le mariage gay puisque la seule vraie question est plutôt, selon moi, être pour ou contre le mariage en général. Chaque couple, chaque personne a sa propre histoire et ses propres perspectives dans la vie, pour certains l'engagement mutuel a besoin dêtre établi de façon formelle aux vues de la société pour d'autres pas.

L'Eglise a beau jeu de prétendre que le mariage gay serait la porte ouverte à la pédophilie et autres turpitudes lorsque l'on sait que derrières les portes des presbitères et des établissements scolaires religieux des pédophiles ont sévi (et sevissent encore) sans être inquiétés par leur hiérarchie. Et dans notre beau pays des droits de l'Homme si l'on se pose encore la question du mariage gay c'est bel et bien parce que la séparation de l'Eglise et de l'état n'est pas encore effective. Que l'Eglise ne bénisse pas l'union de deux femmes soit, même si l'on peut être gay et chrétien et qu'il me semble particulièrement injuste de priver un couple quelqu'il soit de vivre sa foi, mais elle n'a pas à intervenir dans les décisions de l'Etat. Or ces manifestations anti-mariage gay ont bien été lancé par des associations bien catho soit disant au grand coeur ! Visiblement l'Eglise n'a pas beaucoup grandi depuis l'inquisition....

Il reste à espérer que cette image aura un effet plus immédiat que celle du baiser de Clémentine Célarier lors du Sidaction de 1994, hélas notre société évolue si lentement que je ne pense pas que même si la loi est votée et appliquée ceux qui ont hué ces jeunes femmes cette semaine comprennent que chacun est libre de s'unir avec qui et comme il veut ... Je crois malheureusement qu'on entendra encore des personnes dire qu'il est contre nature pour un homme d'aimer un homme et qu'il faut trouver un moyen de les soigner ... Il est regrettable qu'on n'ait pas encore trouver un traitement contre la connerie ....

18 octobre 2012

Journée de l'esclavage

slave memorial

J'aime les chaines, j'aime l'esclavage et j'aime la Nouvelle-Orléans

ce n'est un secret ici pour personne...

Il me parait donc opportun de publier en cette journée en mémoire de l'esclave inconnu cette image du mémoriale érigé en son honneur en 2004 juste à coté de l'église St Augustine de New-orleans... cela peut paraitre du plus parfait mauvais goût j'en conviens mais je ne suis plus à un paradoxe près ...

27 mars 2012

le bel animal VI

Sur une chansonde Juliette Gréco

robe shibari


Si je vous déshabillais ce soir ce serait pour vous habiller ensuite de mes cordes ....

D'abord les bras dans le dos, mes cordes enserrent vos poignets et caressent votre peau

Je joue si bien que vous ne savez plus si elles ne font que vous caresser ou vous lier, surement les deux... En même temps prendre lentement possession de vous, sentir votre abandon....

Le plaisir des gestes lents et sensuels est immense .... submergeant

Je le lis dans vos yeux et vous souriez béat, je souris aussi gourmande … et pourtant je serre les liens. Je pose des baisers sur vos épaules, votre cou, votre torse.

Mes cordes s'enfoncent dans votre peau.

Puis je lasse un corset de cordes autour de votre buste, des pectoraux au pubis. Habillé de ma création indécent et entièrement offert à mon plaisir, je prends votre impudeur comme un cadeau

Je vous effleure, le haut, le bas … à peine... discrètement

A présent les jambes en remontant, d'abord les chevilles. La corde s'enroule lentement par caresse successive. Une jambe puis l'autre comme tressée l'une à l'autre immobilisant les genoux dans la raideur d'une statue. D'un geste je pourrais vous faire tomber mais je vous veux droit, fier et viril

Il ne reste plus grand chose de votre peau juste votre queue qui grandit sans que je la touche, comme hypnotisée par mon regard. J'aime vous voir bander, que vous bandiez pour moi et par moi .... je suis fière moi de vous voir ainsi.

Je pose ma main fraiche sur votre ............................................joue …... sur votre joue en propriétaire. Je caresse votre visage …. je vous embrasse encore....

Impuissant vous vous laissez faire.... dans le plaisir de sentir mes gestes sensuels et impudiques.

Je sors de ma poche une dernière corde, fine et souple. Je la glisse sous les couilles, les enserre par des tours et des nœuds successifs. Enfin je tresse votre queue à ce lien en croisillons espacés et je finis par un nœud en dessous.

Perfectionniste je fais le tours de vous rectifiant un croisement de cordes, cachant les terminaisons.

Je contemple mon œuvre et je suis fière de mon modèle, satisfaite

Je me colle à vous, je pose mes doigts sur les espaces que j'ai laissé sur votre queue, juste assez grand pour le bout de mes doigts

Avec une douceur bien trop lente et frustrante je vous caresse vous aimez l'être.....



l'air est à écouter là :

http://www.youtube.com/watch?v=XyqIs8xPCd0





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