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Le Paradoxe de la Femme de 40 ans douce, vicieuse et belle comme un Botéro
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Le Paradoxe de la Femme de 40 ans douce, vicieuse     et belle comme un Botéro
Le Paradoxe de la Femme de 40 ans douce, vicieuse et belle comme un Botéro
  • Petites histoires érotiques, délires sm, et billets d'humeur d'une femme de 40 ans paradoxalement douce et vicieuse, tendre et cruelle, directive et à l'écoute, scandaleuse et secrète, perverse et délicate.
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3 juillet 2009

Prisonnier

prisonnier

Convoqué, tu es là sur le palier. Tu te constitues prisonnier.
Tu frappes à ma porte, je t’attendais un foulard à la main. J'entrebâille la porte et te demande de reculer. Je sors et tire la porte derrière moi. Je pose le foulard sur tes yeux.
Je t’embrasse et prends ta main. Nous entrons dans ce lieux complètement inconnu de toi
je te laisse au milieu de la pièce. Je te regarde. Je jouis de ton angoisse qui monte un peu plus.
Je te déshabille. Chaussures, chaussettes : Exit ! La chemise à présent, bouton après bouton je découvre ton torse. Enfin ton odeur, je te  hume, je t’effleure du bout des doigts. Tu me cherches, tu m'espères à droite, je pose ma main à gauche. Tu me crois prête à toucher ton ventre et je frôle ton cou. Je défais la ceinture, elle glisse autour de la taille. Je dégrafe le pantalon il tombe sur tes pieds.

-ne bouge pas !
Je baisse le caleçon il aboutit au même endroit. Tu te retrouves nu devant moi, pantalon et caleçon sur les chevilles, godiche, embarrassé. Je poursuis mon exploration de ton anatomie. Je palpe,  jauge, m'émisse, m'introduit....

je vérifie le rasage : lisse du pubis à l'anus, avais-je précisé. Rasoir en main, assise sur un tabouret à la hauteur adéquat, je scrute, je touche, je caresse, évalue la douceur de la peau du pubis, de la verge, des bourses. Je rectifie rasant ça et là les poils restants.
Je te fais mettre à 4 pattes reins cambrés, l'anus offert à ma vue.
J’enduis de mousse, la lame glisse. Hum! Ce bruit.......je découvre peu à peu ce lieu secret, lisse délicat, disponible, prêt à s'ouvrir. Je termine mon travail, efface les traces avec une serviette chaude, fait rouler le cristal sur la peau. IM PE CA BLE comme j'aime !!!
Un peu de gel, je pénètre lentement un doigt puis l'autre. Je masse de l'intérieur, assoupli, entrouvre .......
Dans ma main l'objet que j'ai choisi pour toi. Je l'enduis, le prépare lui aussi, je le pose sur toi. Le contact te surprend sans doute un peu, tu frissonnes. Je flatte ta croupe comme celle d’une jument, le geste te rassure. Le plug entre et trouve sa place aisément.
Je met mon collier autour de ton cou, attache la laisse.
Fermement, je t’entraîne à ma suite toujours à 4 pattes : il est temps de t’installer dans ta geôle.
Je te fais asseoir sur le sol bétonné, chevilles ligotées entre elles, idem pour les poignets. Je relie les mains aux chevilles.
Je te regarde pieds et poings liés, plugué. J’attache la laisse au python dans le mur.
Je sors, et ferme la porte à clef.
Je vais et viens dans la pièce en faisant du bruit pour que tu m'entendes depuis le cagibi. Il n'y qu'une mince cloison entre nous, entre nos sensations....
J’entrebâille la porte, joue les matonnes, vérifie l'état de mon prisonnier. Quelle Image !!!!

Je continue à vaquer à mes occupations, passe un coup de fil. J’explique à mon correspondant que je dois surveiller et m'occuper d'un chien que j'ai trouvé ce matin sur le pas de ma porte. Mon interlocuteur me suggère la SPA, je réponds que j'arriverai bien à le dresser, à le mater, que j'ai tout mon temps.

Du congélateur je sors des glaçon, dont je rempli une large vessie.
J’entre dans le cachot, je détache les mains des chevilles. Dans un même geste je te pousse du pied, tu tombes sur le dos. Je lâche la poche glacée sur ton sexe et tes bourses. Effet immédiatement saisissant : tu grimaces : la chute, le froid, les deux !!!!

Je resterais bien à te regarder, mais non !!! Je sors. Je laisse au froid le temps de faire son œuvre, t’engourdir, t’insensibiliser. 10 minutes devraient suffire. Le temps te paraîtra bien plus long : le gel qui endort la chaire, les gouttes de condensation qui ruissellent le long du corps........

Je reviens près de toi, avec ma précieuse boite à malice !!! Tu ne les vois pas pourtant bientôt mes coquines vont s'accrochées à toi....... 

Je retire la vessie froide. Ta verge est toute ratatinée, fripée comme une vieille pomme.
Allongé les bras écartés, tu attends sans savoir.
Assise sur mon tabouret, ma boite à malice sur les genoux : pinces à linges en plastiques ou plus petite en bois, "crocodile", arrondies ou plates. Je sais déjà que certaines t’effrayent, je m'en délecte !!!
Je choisie la première : petite en bois, la place au centre du pubis juste au dessus du sexe.
Je suis partagée entre prendre mon temps pour installer mes coquines au risque de voir l'effet anesthésiant de la glace se dissiper avant la fin, ou me presser et jouir du spectacle de la douleur qui se réveillera mon oeuvre achevée.
Je me presse !!! Une rangée de petites en bois sur le dessus de la verge, une symétrique en dessous. Une ligne de croco de chaque coté : JOLI !
Sur le pubis un soleil de pinces bois bien régulier
je rassemble l'excédent de peau des testicules vers l'arrière, maintiens le tout avec des pinces en plastiques colorées. J’en place quelques-unes à l'intérieure de chaque cuisse.
Je remplie à nouveau la vessie de glace. Cette fois je pose délicatement la poche, je n'ai pas fini.
Vite une pince arrondie mais extrement serrée du chaque téton étiré auparavant, quelques crocos sur le pourtour des aréoles pour la géométrie, des pinces plastiques à l'intérieure des bras pour la symétrie avec les cuisses.

Plus de coquines, la boite est vide ! Je retire la vessie .....
Je contemple le tableau : j'ai bien choisi les pinces, les emplacements. L'image me plait. Je l'imprime dans mon cerveau.
Et puis ton visage, tes traits tantôt se tordent tantôt se figent. Je lis la douleur : celle vive instantané des pinces posaient sans préparatif sur les seins et sur les bras et celle qui monte du bas ventre lentement à mesure que la peau se réchauffe.
Tu gigotes comme un vers pensant sans doute esquiver la douleur de plus en plus vive.
Tu commences à gémir, à souffler, à te plaindre.

Repue de ce spectacle je te laisse à cette douleur immobile.

Je sais que les minutes s'étirent, tant de petites souffrances aigues réparties sur tout le corps en des lieux si tendres et délicats...........
Toujours curieuse, je reviens le plus silencieusement possible t’épier. Tu me devines à la porte. Tu me demandes de te soulager, de retirer ces petites montresses

- NON !
Qu’espérais tu ? Ma clémence ? Ma douceur ?

Au contraire je rajuste ça et là certaines qui se sont échappées. Chacune reprend sa place initiale : je te regarde encore un moment. Je réfléchis quelles pinces vais-je retirer en premier ? Intérieure des cuisses sans doutes : une à une je retire.... tu n’es pas soulagé pour autant !!! Il en reste tant agrippées à toi !
Je prends mon temps, elles retournent dans la jolie boite avec une infinie lenteur : je marque des pauses, je fume une cigarette, bois un verre : je déguste .... Comme toi ????
Je commente ta position, les marques que je découvre avec tant de plaisir. J’aime tant ce qui se dessine : chaque type de pince à laissé son empreinte distincte. Le résultat sur ton corps est superbe.

Je fais durer le plaisir........encore.......longtemps........patience.............
premières posées, les pinces qui ornent ton sexe partent en dernier. Lentement je presse la pince les dents s'écartent, le soulagement est bref.... l'afflux de sang aux différents pinçons est un nouveau tourment.

Tu es à bout de souffle. C’est bien ce que je voulais.

Je te redresse et rattache tes mains à tes chevilles, la laisse au python, vérifie que le plug n'a pas bougé.

Je meurs de faim !!!!
Je prépare bruyamment le déjeuner.
Je viens te chercher, je détache tes liens, retire le bandeau.

Tu fais mine de vous relever :

- à 4 pattes !!!
Je te tire jusqu'au pied de la table.

A genoux, les fesses sur les talons, les mains sur les cuisses, tête baissée : cette position que j'affectionne et dans laquelle j'aime tant te voir.
Je m'assois à table, glisse la poignée de la laisse sous le pied de ma chaise. Ma main sur ta nuque j'attire ta tête jusqu'à ce qu’elle se pose sur ma cuisse. Je flatte ton crâne.
Je te  présente les bouchées aux creux de ma main. Tu me lèches, suces mes doigts. Ta bouche se barbouille. Je te fais boire ... trop vite ! Tu hoquettes , le liquide jailli de ta bouche, coule sur toi, sur moi... je me lève d'un coup : la gifle s'abat vive fracassante, cinglante.

La joue se marque instantanément de rouge de blanc, la forme de ma main....
Tu es stupéfait, surpris de mon injustice et de la douleur à la fois. Ton regard vire au sombre, tu veux te lever, me faire face.
La deuxième claque tombe aussi vive et surprenante que la première.

- A TERRE !!!!

 Je sais qu’à cet instant tu me trouves fondamentalement injuste. Je t’ai frappé durement, toi le docile, toi le soumis venu de ton plein gré. J'ai vu les larmes monter dans tes yeux.
Tu es là à ma merci, prisonnier humilié. La joue au sol, les fesses en l'air, les reins cambrés. Mon pied sur la nuque je te maintiens immobile. Le plug te torture encore et toujours, ta chaire tremble, les frissons te parcourent.
Enfin apaisante je pose mes mains sur toi, j'apprécie le grain de la peau sous ma paume.
Je pétrie je malaxe cette matière douce et ferme à la fois.
Chacune à leur tours mes mains s'abattent sur vous. je m'éloigne d'un pas, je reviens, je tape une fesse puis l'autre. J'aime ce bruit, cette douleur et cette chaleur au creux de mes mains. La couleur de la peau qui change, rose léger, rose franc, rouge et enfin cramoisie.
La paume de mes mains me démangent et s’échauffent, les deux fesses en même temps symétriquement de chaque coté du plug qui t’ouvre.
Les coups pleuvent, une pluie éparse irrégulière mais sans appel jusqu'à ce que tes fesses s'ouvrent et laissent échapper l'intrus que j'y avais introduit…..

 




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Commentaires
F
mes respects, Madame,<br /> Merci pour ce nouveau récit, toujours terriblement sensuel, qui transcrit si bien l'émotion, l'intensité de ces moments là, Madame.<br /> servilement,<br /> bruno
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